Démarrage loi 101 de la série - Fondateurs erreurs font - Une mauvaise utilisation de contrats de formulaire

La nôtre est une époque où les formes juridiques se multiplient et de nombreux entrepreneurs sont tentés de les utiliser sans beaucoup de réflexion qui leur est donnée de personnaliser pour les détails de leur entente.

C'est une erreur.

L'utilisation irréfléchie de modèles juridiques suppose que la loi est un processus mécanique, comme capable de simplification, comme c'est le processus de vente de gadgets. La pensée est quelque chose comme ceci: Vous trouverez un widget sur le web. Vous l'achetez pour un prix pas cher. Vous pouvez l'utiliser. Par conséquent, aucune nécessité pour les avocats intermédiaires qui facturent cher pour tirer le widget identique de leur tiroir et de le remettre à vous avec sa facture.

Il ya quelques vérités partielles ici. Certaines situations sont tout à fait du contrat de routine. Et les avocats ont parfois abusé des entrepreneurs en les gardant dans l'obscurité pendant la course jusqu'à la facturation dans des situations simples. Il ne s'ensuit pas, cependant, que les contrats ne sont que des unités de widgets comme interchangeables et que n'importe qui peut utiliser les plug-and-play de la mode.

En réalité, la loi est une bête glissante, celle qui semble défier la simplification. David Dudley Field fait un effort pour simplifier les lois célèbre de la Californie dans les années 1870. Les hommes les plus instruits de cette époque consciemment sur le point de prendre toutes les lois de la Californie et de les rendre si simple que même la personne la moins éduquée pourrait les comprendre. Le résultat - un flop ventre de classe mondiale. Les juges ont pris la couche simplifiée de nouvelles lois inscrites dans les codes de champ, les tissaient dans un système complexe d'interprétation juridique, et - voilà! - La Californie a émergé avec l'ensemble le plus complexe de lois de la nation.

Pourquoi cela se produit? Pourquoi la loi si obstinément défier être réduit à un système de irréfléchie application qui est facile à comprendre et à administrer?

Parce que, le veuille ou non, la loi vise à réglementer les affaires humaines qui sont eux-mêmes complexes. Et il ne peut pas le faire efficacement que si elle est adaptée aux situations à portée de main. C'est pourquoi les juges décider au cas par cas les problèmes. C'est pourquoi la loi a beaucoup de variations localisées. C'est pourquoi un contrat en conserve, magnifiquement rédigé mais il peut être, sera mal servir les parties qui l'adoptent sans penser à travers ses implications.

Encore une fois, le veuille ou non, des affaires et droit des sociétés est compliquée. Donc, est trop droit de la propriété intellectuelle. Et le droit fiscal. Et droit des valeurs mobilières. Et licences loi. Et la distribution la loi. Et droit de la propriété. Et toutes les autres formes de contrat et le droit commercial. Avez-vous déjà essayé de faire face à une débenture non garantie? Ou un intérêt révisionniste? Ou avec n'importe quel autre des milliers de bizarre à consonance concepts juridiques qui semblent flotter dans et autour de la loi qui entoure les entreprises et les sociétés? Oui, vous connaissez peut-être, à partir de votre expérience pratique, avec ce que FAB signifie comme un terme la navigation commerciale. Ou avec ce qu'est une «garantie implicite de valeur marchande» signifie. Mais prenez ces termes, les multiplier par les milliers, les mettre dans un contexte peu familier, et ce que vous obtenez? Vous obtenez une page web de termes juridiques de l'art, dont chacune a une signification particulière que lorsqu'elle est comprise dans un contexte juridique complexe.

C'est beaucoup plus que dans le cas d'un avocat tente de répandre ce qu'on appelle «la peur, l'incertitude et doute» d'une manière illégitime. Telle est la réalité du droit d'essayer de comprendre et de régler les affaires complexes qui ne se prêtent pas à une simplification lors considéré comme un tout.

Par conséquent, le droit des contrats et commercial est très compliqué et ne se prête pas à l'application irréfléchie. Si c'était seulement une question de remplissage dans les noms, par exemple, sur un accord de partenariat, alors tout le monde le démarrage d'une entreprise pourrait aller dans un magasin de papeterie (à l'ancienne) ou aller à un site de téléchargement de formulaires (la nouvelle), acheter un accord de partenariat en conserve, indiquez les noms, et faire avec elle. Il s'agit normalement d'une manière sage de former une société. Une telle forme passe-partout peut-être rien à voir avec la nature de l'entreprise mis en place par les parties. Il peut avoir la langue en elle qui n'a aucune incidence sur leur affaire et qui ne fera que les confondre et de tout le monde sur ce qui était prévu par leur contrat. Pire, il ne sera pas expressément énoncée la nature de leur accord pour faire comprendre ce qu'ils entendent dans leur contrat. Un tel contrat est une invitation ouverte à des litiges en cas de problème dans la transaction entre ces parties. Peut-être des dizaines, voire des centaines de milliers de dollars seront dépensés de hachage et à satiété re-hachage ce qu'ils voulaient quand ils "ont convenu de« passe-partout mal rédigé. Si vous avez déjà eu le malheur de subir ce sort, vous n'aurez plus jamais recourir au coin de coupe-telle à documenter les affaires de votre entreprise ou de démarrage des petites entreprises.

Tout, mais le plus simple des contrats doivent être examinés avec soin par une personne ayant un œil averti et doivent également être compris dans leur contexte juridique complète. Une revue de contrat, bien sûr, qui peut être fait par un laïc à puce en utilisant les ressources d'auto-assistance. Et certaines personnes sont plus enclins à investir temps et d'efforts à cette fin d'une manière qui les aide à gérer leurs budgets juridiques avec plus de soin parce qu'ils prennent beaucoup de la charge eux-mêmes. Mais il est un fardeau, et il a un coût qui s'y rattachent - il ya toujours un élément de coût-avantage pour un tel effort. Ce qui est pire, beaucoup de gens ne font pas un bon travail de réflexion sur les questions et finissent coins de coupe. Un contrat entre leurs mains peut être comme une arme chargée dans les mains d'un enfant de six ans - des résultats très imprévisibles et parfois dangereux peut suivre.

En outre, le contexte est critique. Ce qui semble paisible sur la surface peut se cacher sous la turbulence juridique. Vendre des actions aux investisseurs avec un contrat d'achat simple. Très bien. Je vends. Vous achetez. Puis, plus tard, vous trouvez que vous n'avez pas se conformer à la législation en valeurs mobilières. Ou que votre acheteur obtient un gain important imposable pour avoir contribué immobilisations incorporelles pour son stock. Ou que votre accord a violé les droits de quelqu'un d'autre dans l'entreprise que les restrictions de telles ventes. Oui, les avocats peuvent parfois tourner et ne ces questions sur inutilement. Mais ces questions peuvent et doivent exister dans de nombreux cas. Lorsque vous utilisez une forme passe-partout, vous avez besoin de voir au-delà de ses limites apparemment simples à comprendre comment il fonctionne légalement dans son contexte plus large. Sinon, vous pourriez intervenir en difficulté sans avoir la moindre idée de ce que vous faites ainsi.

Alors, pouvez-vous en tant que formes entrepreneur un passe-partout utilisation en toute impunité, sans totalement les comprendre et sans comprendre leur contexte? Dans certains cas, oui. Vous avez besoin d'une simple note à ordre, et le générique adapté à vos besoins sans trop de risques de contracter légalement aveugle face à une simple transaction. Vous avez besoin d'une boîte sda ​​pour vos employés et vous avez un formulaire que vous aviez utilisé dans une entreprise avant - le type de formulaire qui est resté assez constant depuis de nombreuses années d'utilisation. Cela peut fonctionner pour vous et, même quand il ya des problèmes techniques potentiels avec les documents que vous utilisez, les problèmes se posent peut-être jamais dans votre situation particulière.

Pour tous les cas où les entrepreneurs peuvent ou ne sortir avec elle, cependant, il ya toutes les situations trop nombreuses où leurs tentatives pour le faire se révéler peu judicieux. Flying Blind a ses limites, après tout.

Avocats d'affaires Bad sont des avocats qui prennent tout simplement des formes et changer les noms sans donner pensée de la nature de l'affaire devant eux. Bad que cela puisse être, au moins de ces avocats ont un minimum de formation juridique et l'expérience pour être capable de repérer quelques-unes des questions juridiques et quelques-uns des pièges potentiels.

On ne peut pas en dire autant pour un entrepreneur essaie de faire la même chose mais sans le bénéfice d'une formation juridique ou légale. C'est alors le pire de tous les cas. Ne vous mettez pas dans cette situation.

La question se confond lorsque l'entrepreneur aura eu une exposition significative à certains types de documents juridiques, comme par exemple dans le cas de celui qui a géré les contrats d'une grande entreprise dans un poste de direction tout en travaillant sous la direction d'avocats chevronnés. Dans de tels cas, quelqu'un qui a eu beaucoup d'expérience pratique avec une classe particulière de contrats est souvent beaucoup plus conscients de leurs tenants et les aboutissants que les non-spécialistes avocats qui n'ont pas beaucoup traités avec ces contrats.

Cela est vrai aussi bien de l'entrepreneur chevronné qui a développé une telle connaissance de travail solide des ententes commerciales à être en mesure d'exécuter des anneaux autour certainement tout avocat green business qui tente de travailler sur de telles transactions.

Bien que tout cela est vrai, cela signifie simplement que la loi a un côté pratique aussi bien que théorique, et toute personne intelligente, qui a travaillé par le biais opérations complexes juridiques assez souvent repartiront de cette expérience avec quelques excellentes compétences applicables à de telles transactions. Entrepreneurs en série, gestionnaires de contrats et d'autres ayant de l'expérience comme dans ce moule.

Cela confirme que, cependant, pourquoi il est mal avisé pour un entrepreneur pour tenter de faire des affaires en utilisant des formes juridiques sans réfléchir. L'entrepreneur chevronné, le gestionnaire du contrat qualifiée, etc peuvent ne pas être des avocats d'affaires, mais ne le vaste expérience pour être en mesure de penser leur manière soigneusement par un contrat complexe. Même alors, ces personnes peuvent témoigner que ils ont finalement besoin de leurs offres de commentaire par un avocat d'affaires qualifiés. Bien qu'ils puissent être en mesure de conduire une affaire de manière plus efficace en raison de leur expérience, ils savent eux-mêmes ce n'est pas un substitut pour l'utilisation des services d'un avocat qui est un expert dans leur domaine.

Le mot clé est «penser». Un avocat d'affaires de bonne volonté bien réfléchir à tout accord donné et personnaliser un contrat de la situation commerciale à portée de main. Un entrepreneur chevronné fera la même chose dans les limites de la connaissance d'un profane dans un domaine technique. Un entrepreneur à l'aide de bonnes juridiques ressources d'entraide sera de même à réfléchir aux questions avec soin dans les limites que ces ressources permettent.

C'est l'utilisation irréfléchie des formes passe-partout qui ne le coupent. Utilisation des formulaires passe-partout, sans la formation, l'expérience requise, et de l'éducation ne donne pas un entrepreneur de tout fondement pour penser à travers un accord visant à repérer les problèmes et les points chauds potentiels. Ne pas utiliser les formulaires passe-partout sans réfléchir. En fin de compte, il peut vous coûter cher....